La balance bénéfice/risque des vaccins anti-Covid-19 

chez les jeunes est-elle favorable ?



Source: Graphique 1, page 5, Etudes et Résultats n°1226, DREES.

La mortalité du covid-19 chez les moins de 60 ans (soit plus de 3/4 de la population) n’a jamais dépassé la mortalité de la grippe saisonnière = non-évènement épidémiologique.

Est-ce compatible avec une urgence sanitaire dans cette tranche d'âge ?




Après l’arrivée des vaccins : des pics de mortalité et la baisse du nombre de naissances. Où est le bénéfice de la vaccination massive de jeunes ?



Source : Euromomo


La mortalité toutes causes confondues chez les moins de 44 ans a augmenté en Europe début 2022 (+5) et début 2023 (+10%), alors qu’elle a été normale de 2017 à 2019, et notamment en 2020 avec le covid-19 et avant l’arrivée du vaccin. De plus, le nombre de naissances ans en France après septembre 2022 est au plus bas depuis 8 ans (-10%) pour la même période de l’année (Nombre naissances INSEE). Est-ce lié aux vaccins, à une dégradation de la situation socio-économique ou à une autre cause? Un doute existe sur la balance bénéfice/risque des vaccins chez les jeunes car l’étude Pfizer de lancement de 2021 a montré une tendance à la surmortalité toutes causes confondues chez les personnes vaccinées (21 décès chez les vaccinés versus 17 chez les non-vaccinés, soit +23%) au bout de 6 mois de suivi (page 23, Autorisation FDA - Pfizer-BioNTech). Il serait possible de répondre à cette question mais les autorités bloquent l’accès aux bases de données alors qu’elles ont promis une pharmacovigilance exemplaire. Une tribune a été signée en mars 2022 par des nombreux universitaires, chercheurs et professionnels de santé, demandant que toute la transparence soit faite mais depuis l’état refuse toujours la transparence. (Source de la tribune : QG.media).


VACCINATION MASSIVE DES JEUNES:

   UNE FAUSSE RÉPONSE A UN FAUX PROBLÈME ?


Les vaccins anti-Covid 19 :


  •  Les données réelles soulèvent un doute concernant la balance bénéfice / risque notamment chez les jeunes.

  • Sont en phase expérimentale de phase 3 et leurs effets à long terme sont inconnus. De ce fait, accepter le vaccin équivaut à la participation à un essai clinique régi par des nombreuses conventions internationales (Helsinki, Nuremberg, etc.) et ne peut pas se faire sans un consentement libre et éclairé.

 

Les personnels hospitaliers et pompiers

 

  • Sont en majeure partie jeunes.

  •  N’ont reçu aucune indemnisation durant la suspension, ni pour leur survie ni pour une éventuelle reconversion professionnelle, malgré avoir cotisé à l’assurance chômage et à la formation professionnelle.

  •  Auraient pu être réintégrés pour des tâches ponctuelles comme en cas de sous-effectif ou pour remplacer un collègue malade, tâches pour lesquelles la loi du 5 août 2021 n’exige pas l’obligation vaccinale (article 12.III). Toutefois, les autorités ont préféré garder le sous-effectif au risque de perte de chance pour la population ou faire travailler les collègues malades, y compris du Covid, et amplifier la dissémination de la maladie, allant ainsi contre l’esprit même de la loi. Cet acharnement contre le bon sens élémentaire est une preuve qu’il y a eu une intention claire d’infliger un maximum des souffrances aux suspendus. Certains suspendus ont vécu cela comme de la torture mentale selon sa définition dans le dictionnaire.

  • Expérimentent une nouvelle forme de sanction, sans limitation dans le temps, en dehors de toute règles préexistantes (code du travail ou code de la fonction publique). Un jugement récent a par ailleurs considéré ce type de sanction «excessive et disproportionnée » au regard des droits d l’homme et des libertés fondamentales (Intégration suspendus Jura, 10/02/2023).


NOUS DEMANDONS 



* L'ABROGATION DE LA LOI DU 5 AOUT 2021

 

* LE DEDOMMAGEMENT FINANCIER ET LA REINTEGRATION DES PERSONNELS HOSPITALIERS ET POMPIERS SUSPENDUS



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